Grâce à Point Afrique, des avions ont à nouveau atteri à Atar. Louisette LE FERS était du voyage et a retrouvé la terre mauritanienne et les guides qui attendaient dans leur 4×4. Ce premier voyage depuis 8 ans a été l’occasion avec Brahim de visiter quelques écoles du désert.
La Page de Mille Pages est de retour. La Page n° 15 met en lumière cet événement et son action durant la dernière année.
Mille pages a déposé ses nouveaux statuts auprès de la sous-préfecture de Grasse. Les modifications portent sur l’adresse, la composition du bureau et sur l’objet de l’association.
Les services de l’Etat les ont bien réceptionnés et les ont validés.
Vous pouvez les consulter en cliquant sur ce lien.
Au cours de l’Assemblée générale du 2 décembre 2017 qui s’est déroulée à Vallauris (06), un nouveau bureau a été élu. C’est désormais Louisette LE FERS qui assure la présidence de Mille Pages à la place de Catherine LABROSSE-PANET qui demeure présidente d’honneur.
La nouvelle présidente est assistée de Brigitte VALLEE, sa vice-présidente, d’Yves PONCET pour la trésorerie et de Serge PRAVE pour le secrétariat.
Revenez sur cette assemblée générale en téléchargeant le procès-verbal.
Les enfants de la classe soutenue depuis 5 ans par Mille pages au Burkina Faso étaient cette année en CM2. En juin, ils ont passé le CEP (certificat d’études primaires). 29 élèves sur 33 l’ont obtenu. Ils peuvent ainsi aller au collège en 6ème s’ils le souhaitent ou surtout s’ils peuvent être parrainés.
Ces bons résultats et le sérieux de l’instituteur nous ont amené à poursuivre cette action, à la rentrée au mois d’octobre. Nous participerons donc au financement d’une classe de CP1 qui entamera un nouveau cycle de primaire.
En ce début d’année, une distribution de fournitures scolaires dans l’Adrar a été réalisée par Brahim.
Dans certaines oasis en partie désertées, des petites écoles avec peu d’enfants ont fermé et il y a eu de nombreuses mutations d’instituteurs.
Ailleurs, les classes sont surchargées et les équipements inadaptés.
En fait, les besoins sont encore énormes dans cette région de l’Adrar toujours sinistrée économiquement.
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